Moteur d’occasion Passat 3C5 2.0 TDi 110 CBD CBDC
Moteur d’occasion VW Passat 3C5 Break 2.0L TDI 110
- Année : à partir de 11/2008 jusqu’à 11/2010
- Type moteur : CBD CBDC
- Puissance : 110cv
- Numero moteur : 318 331
- Type mines vehicule d’origine : MVW54K4E1F88
- 72 000Km
- La pompe haute pression Bosch est fournie gratuitement avec le moteur .
Garantie : 3 mois
Essai VW Passat Bluemotion 2009
A propos de la Passat 2.0 TDi 110
Intruduction
Remplaçant le vieux 1.9 TDI à injecteurs-pompe, le 2.0 TDI à rampe commune équipe petit à petit la gamme Volkswagen. Après le 4×4 Tiguan et la compacte Golf , il anime maintenant les Passat berline et break, dans ses trois niveaux de puissance : 170, 140 ou 110 ch ici à l’essai. Cette dernière version a pour particularité d’être déclinée dans une variante appelée BlueMotion, équipée du système Stop & Start, qui coupe le moteur au feu rouge, et de pneumatiques à faible résistance au roulement. Cette Passat 2.0 TDI BlueMotion, vendue quelques centaines d’euros de plus que la 110 ch classique, a pour intérêt de n’émettre que 12 g de C02 dans cette version break SW (au lieu de 137 g) et donc de bénéficier d’un bonus C02 de 200 € (en 2009).
Les voitures de 4,80 m de long pesant pres que 1 500 kg et flirtant avec les 200 km/h avec bo nus ne sont pas légion. A l’instar de la BMW 318/320d et de la Renault Laguna 1.5 dCi, la Passat SW 2.0 TDI Bluemotion est dans ce cas. Reste à vérifier si les caractéristiques découvertes sur le papier résistent à l’épreuve de la route.
Avec l’habitacle le plus spacieux et le niveau d’équipement le plus attractif pour un budget raisonnable, le nouveau break Bluemotion ConfortLine affiche 5,3 l aux 100 km de consommation moyenne sur un millier de kilomètres de ville, route et autoroute. Grâce à une circulation parisienne plus fluide que d’habitude, nous sommes sortis de notre test urbain avec une consommation inférieure à 5 litres aux 100 km.
Sur la route
La sixième génération de la berline moyenne de Volkswagen est présentée pour la première fois au Salon de Genève en mars 2005 et lancée en Europe à l’été 2005. La calandre reprend le style de sa devancière mais la forme générale est plus moderne et moins classique. Elle perd pour la première fois son profil à trois glaces latérales. Disponible en boite manuelle cinq et six vitesses ainsi qu’avec la boite automatique DSG6 qui deviendra DSG7 sur la génération suivante.
Contrairement à sa devancière, la B6 Passat ne partageait plus sa plate-forme avec le modèle équivalent d’Audi (l’Audi A4). Basé sur une version modifiée de la plate-forme PQ46 de la Golf V, la B6 présentait une disposition de moteur transversale plutôt que longitudinale comme les générations B3 et B4 précédentes.
L’agencement transversal du moteur de la version à quatre roues motrices, commercialisé sous le nom de 4motion, a dicté le passage du différentiel central Torsen du B5 à l’embrayage multidisque Haldex Traction. Le passage au système Haldex modifie également la tenue de route d’une voiture telle une traction avant. Comparé au Torsen, le Haldex dirige le couple principalement sur les roues avant (de 100/0 à 50/50 de taux avant-arrière), offrant ainsi une plage différente des 75/25 à 25/75 du Torsen de la Passat B5. Le Haldex est un système de type semi-permanent, se comportant comme un véhicule à traction avant jusqu’à ce qu’un glissement soit détecté, point auquel un maximum de 50% du couple peut être transmis à l’essieu arrière. Consultez l’article Transmission intégrale lié à Audi pour plus d’informations.
L’injection directe de carburant est utilisée dans chaque version essence de la Passat, allant de 1,4 à 3,6 litres. Mais le diesel à injection directe turbocompressé (TDI) reste alors la version la plus recherchée en Europe.
En février 2008, les moteurs diesel de 2.0 litres précédemment utilisés avec des injecteurs-pompes (PDE en allemand) ont été progressivement remplacés par des moteurs tout aussi puissants avec injection à rampe commune. Les nouveaux moteurs sont de plus en plus silencieux. Ces moteurs étaient également destinés à la prochaine Audi A3 et à la Golf VI. Ce moteur était déjà disponible dans la nouvelle génération de l’Audi A4 et du Volkswagen Tiguan.
La mi-2009 a été suivie de l’introduction d’une version BlueMotion pour le moteur 1,4 litre TSI, qui satisfesait alors à la norme antipollution EURO 5.
Vendue sur pratiquement tous les marchés où elle prend différentes appellations, la Passat cèdera sa place à la septième génération en 2010.
Conclusion
Le système Stop & Start assure, à lui seul, un gain théorique de 0,2 l en cycle urbain. En conditions réelles, il peut aller jusqu’à un litre et, même si la remise en route du diesel s’accompagne de tremblotements désagréables, on s’habitue très vite à cette coupure du moteur à l’arrêt, sachant qu’il redémarre sans faillir dès qu’on enfonce la pédale d’embrayage.
Sur route et autoroute, l’indicateur de changement de vi tesse, les pneus Energy Saver, les appendices aérodynamiques et les réglages moteur permettent de réaliser les objectifs sans jamais sacrifier l’agrément de conduite. En dépit de l’allongement des rapports de boîte, accélérations et reprises conservent une bonne vivacité, tant au démarrage que pour les dépassements.
Compte tenu de l’économie réalisable avec cette version, quelques changements de vitesses en plus ne sont rien en regard de la satisfaction éprouvée à la pompe et de l’autonomie rassurante de cette voiture au réservoir contenant 70 litres. Équilibrée, freinant bien et devenue silencieuse, la Passat mériterait la palme du confort avec des sièges plus moelleux et des trépidations mieux filtrées sur mauvaises routes.