Moteur 1.6 PureTech 180 5G06 EP6FADTXD
Moteur Peugeot 3008 1.6 PureTech 180
Informations vehicule d’origine :
- Type : 3008
- Cylindrée : 1.6
- Date de mise en circulation : 21-03-2019
- Date certificat : 21-03-2019 / premiere main
- Alimentation : Essence
- Puissance : 180 181CV (133kw)
- Type moteur : 5GF – 5G06 – EP6FADTXD – 10FKA7
- Type mines vehicule d’origine : M10PGTVP072L224
- Numéro de série : VF3M45GFRKS096746
- Kilométrage : 25 000
- Garantie : 3 mois
- Numéro moteur : 2528519
- Transmission : Automatique
Le turbocompresseur et le convertisseur de couple sont fournis gratuitement avec le moteur .
Conditions d’application de la garantie :
- Pose d’une vanne électrohydraulique de pompe à huile neuve
- Pose d’un patin tendeur supérieur de chaine de distribution neuf
Peugeot 3008 GT 1.6 PureTech 180 (2021)
A propos de la 3008 1.6 puretech 180
Le SUV star de Peugeot s’offre à son tour les services du nouveau moteur essence Puretech 180, conçu par le groupe PSA. Une mécanique puissante pour un châssis affûté, sur le papier cette association fait saliver. En est-il de même dans la réalité ?
Autrefois, on le nommait THP et sa puissance plafonnait à 165 ch. Aujourd’hui, il s’appelle Puretech et affiche près de 180 ch sur le banc. Il s’agit pourtant du même moteur, un quatre cylindres essence suralimenté développé en collaboration avec BMW, mais il a été revisité par le groupe PSA pour répondre aux nouvelles normes WLTP (plus strictes). Il gagne donc une quinzaine de chevaux mais surtout voit ses émissions de CO2 descendre à 128 g/km, ce qui limite le malus écologique à 90 €. Pour un tel niveau de puissance, c’est une performance.
Après avoir débuté sa nouvelle vie avec la Peugeot 508, ce Puretech 180 est maintenant déployé sous le capot de nombreux modèles du groupe PSA comme par exemple les Citroën C5 Aicross et C4 Spacetourer, l’Opel GrandLand X, etc. Il était tout naturel que le SUV le plus vendu en France (84 834 exemplaires écoulés en 2018) loué, entre autres, pour ses qualités dynamiques, s’offre ses services.
Le Puretech 180 est proposé sur les finitions hautes, à partir du niveau Allure (36 250 €). Il est associé d’office à la récente boîte automatique à 8 rapports (EAT8) conçue par l’équipementier japonais Aisin et réputée pour sa douceur. Très à l’aise en ville, il brille par sa douceur et sa discrétion. La boîte contribue aussi à cet agrément en usage urbain. Nous avions été déçus par ses prestations sous le capot du Citroën C5 Aircross, notre avis évolue. La raison ? Le poids. Le Puretech 180 respire bien mieux sous le capot du 3008 en raison d’un poids à vide plus contenu (1 300 kg contre 1 430 kg pour le modèle de Citroën).
Sur les grands axes et les réseaux secondaires, vous apprécierez ses accélérations vives et ses reprises solides malgré son faible couple maxi (250 Nm). Toutefois, on aurait aimé davantage de coffre pour offrir un vrai caractère sportif au 3008. Le mode « Sport » ne change pas la physionomie malheureusement aseptisée de ce moteur. La plus grande frustration est à la pompe puisqu’il faudra lui fournir en moyenne 9 l/100 km, bien trop au regard des sensations fournies. Dommage car le châssis du 3008 mérite mieux et peut largement encaisser plus. Il est l’un des plus pointus du marché en matière de comportement routier. Sa direction est tranchante, l’amortissement soigné et son agilité exceptionnelle pour un tel véhicule.
Le Peugeot 3008 essence prend du muscle avec cette nouvelle motorisation 1.6 PureTech de 180 ch. Pour ceux qui veulent associer SUV et plaisir de conduite, ce 3008 est le choix n°1.
Le Peugeot 3008 fait évoluer sa gamme de moteurs. Après le diesel, c’est au tour du 3008 essence de passer à la vitesse supérieure avec ce nouveau 1.6 PureTech de 180 ch qui vient remplacer le 1.6 THP de 165 ch disparu à l’été 2018 avec l’entrée en vigueur de la norme WLTP. Inauguré il y a peu par la nouvelle 508, ce PureTech 180 est proposé en association avec la boîte automatique EAT8. Avec lui, jamais le 3008 essence n’a été aussi puissant.
Un moteur à essence puissant et une boîte automatique font souvent bon ménage pour l’agrément de conduite. Le 3008 ne déroge pas à la règle. Il se mène du bout des doigts, réagit avec promptitude et sa mécanique joue en sourdine. C’est très agréable en ville où ce 3008 s’apprécie pour son silence et sa réactivité au démarrage. Dans ces conditions, on note de menus griefs : le fonctionnement du Stop&Start gagnerait à être plus discret et il y a quelques à-coups de boîte dans les basses vitesses. Rien de grave.
Quand la route se dégage, le PureTech 180 apporte du tonus à la conduite, surtout lorsque l’on active le mode Sport : meilleure réactivité du moteur et rapidité accrue de la boîte EAT8. On peut toutefois se passer de ce mode au quotidien car la réserve de puissance est suffisante pour une conduite dynamique. A défaut d’un réel tempérament à cause d’un fonctionnement trop lisse, le moteur PureTech 180 montre de l’efficacité et il file le parfait amour avec la boîte EAT8. Heureusement d’ailleurs, car cette boîte à 8 rapports est souvent mise à contribution lors des relances sur route, sur les longues rampes de l’autoroute et sur les parcours sinueux.
La boîte compense là la faible valeur du couple pour un moteur de 180 ch : 250 Nm, c’est seulement 20 Nm de plus que le trois cylindres 1.2 PureTech de 130 ch, et bien loin des 400 Nm du 2.0 BlueHDi 180. Le diesel garde donc l’avantage d’une plus grande souplesse et d’une force supérieure dans les relances. Il garde aussi la main côté consommation : comptez en moyenne 8,5 l avec l’essence de 180 ch en usage mixte, quand le diesel reste facilement sous les 7 l/100 km. Et ce 3008 confirme que SUV essence et autoroute ne font pas bon ménage : le débit dépasse les 9 l/100 km à la vitesse réglementaire et il grimpe vite en cas d’une allure un peu plus rapide ou d’un vent de face.
Sans hybridation, plus de salut
Cette disparition intervient quelques mois après celle du 2.0 BlueHDi. En diesel comme en essence, Peugeot ne propose donc plus que de petites cylindrées, avec une puissance plafonnée à 130 ch. Dans ce domaine, ces deux imposants véhicules se retrouvent ainsi au même niveau que la nouvelle 308 ! Pour les acheteurs qui veulent davantage de performances, il n’y a plus le choix : ils devront désormais opter pour les variantes hybrides rechargeables, fortes de 225 ch en deux roues motrices, de 300 ch sur le 3008 4×4, voire de 360 ch pour la récente 508 Peugeot Sport Engineered (PSE).
Ironie de l’histoire, en guise de bloc thermique, ces versions utilisent toujours le « bon vieux » 1.6 PureTech. Mais elles y associent un ou deux moteurs électriques et une grosse batterie lithium-ion. Avec leurs émissions de CO2 très basses, ces déclinaisons électrifiées sont celles qui aident le mieux Peugeot à tenir l’objectif de 95 g/km de CO2 fixé par l’Union Européenne. De quoi convaincre le Lion de supprimer toutes les alternatives thermiques, quitte à décevoir les clients qui n’ont pas de solution de recharge adaptée ou qui trouvent le surcoût demandé exagéré. Néanmoins le 1.6 PureTech n’est pas mort puisqu’il poursuivra sa carrière dans une nouvelle version (produite dans une usine Opel en Hongrie) dédiée à l’hybride rechargeable à compter de 2023.
La pénurie de puces électroniques a aussi imposé la fermeture de l’option chargeur smartphone par induction sur les GT et GT Pack, ainsi que la création d’une option négative sans boîtier télématique autonome sur la majorité de la gamme 3008. Avec, pour cette dernière, une économie de 150 € à la clé. Le Black Pack est par ailleurs de retour sur le 3008 GT, moyennant 500 €, tandis que les déclinaisons hybrides reçoivent de nouvelles jantes 19 pouces Boston, au lieu de San Francisco, avec de nouveaux pneus Michelin e-Primacy en 255/50 R 19. Quant au petit PureTech 130, sur la 508, il peut désormais s’associer à la finition GT.