Boite à vitesses WDJ6 Hyundai IX35 1.7 CRDi 115
Boite de vitesses six rapports origine montage Hyundai IX35 1.7L CRDi 115cv
Type de boite à vitesses : WDJ6
Informations vehicule d’origine :
- Type mines : M10HMCVP000F528 – M10HMCVP0001U445
- Type moteur : D4FD
- Cylindrée : 1.7 CRDI 16 Turbo
- Puissance : 115 – 116
- Origine montages : Hyundai IX35 Phase 1 – Phase 2
- Kilometrage : 75 000
- Garantie : 3 mois
Depuis le premier Avril 2020 au vu de la conjoncture économique nous offrons au client la possibilité de poser le produit par ses propres moyens si il s’en juge capable tout en conservant la garantie de trois mois, une facture de montage d’un professionnel automobile n’est donc plus obligatoire.
Ceci vous permet d’économiser les frais de montage pouvant représentés à eux seuls jusqu’à cinquante pour cent des frais totaux. Plus d’informations dans nos conditions générales de vente .
HYUNDAI ix35 – Essai par le pilote Jerome Vassia
Essai Hyundai IX35 2010
Essai Hyundai ix35 1.7 CRDi BlueDrive Pack Premium Limited 2014
A propos de la Hyundai IX35 1.7 CRDI 115
Le remplaçant du Tucson ne manque pas d’allure. Après l’imposant iX55 qui s’attaque, lui, au SUV haut de gamme, Hyundai présente l’iX35, outsider dans la catégorie des tout chemins familiaux. Original à l’extérieur avec sa ligne agressive, il ne manque pas non plus de singularité dans son habitacle tout en rondeurs, aux plastiques plutôt flatteurs. Mais leur qualité n’est pas encore au niveau des productions européennes, et on déplore des rangements peu nombreux. Quoi qu’il en soit, on est bien installé à son volant. Face au conducteur, le bloc compteurs est très lisible et les commandes tombent bien sous la main.
Le premier coup de démarreur souligne le manque d’insonorisation au ralenti. Heureusement, aux régimes courants, le phénomène s’atténue pour devenir acceptable, même si les résultats restent décevants à notre sonomètre. Néanmoins, il fait bon vivre dans ce coréen. L’habitabilité est excellente à l’avant comme à l’arrière, et le confort satisfaisant, grâce à l’amortissement, très souple. En revanche, celui-ci réduit la précision du comportement. La direction très légère n’arrangeant pas le ressenti du train avant qui, lorsqu’il est bousculé, glisse tôt. La motricité est malmenée par l’entrain de la mécanique, disponible dès les plus bas régimes.
Malgré tout, les deux roues motrices paraissent une fois de plus suffisantes dans la plupart des conditions de roulage rencontrées. De plus, l’économie non négligeable (2.000 €) par rapport à la version 4×4 peut faire réfléchir. D’autant que l’ix35 s’affiche à des tarifs équivalents à ceux de ses rivaux plus prestigieux et déjà bien installés. Il souffre aussi d’une consommation trop élevée, avec 9,4 l/100 km en moyenne. Même s’il est très bien doté et garanti cinq ans, il n’apparaît donc plus aussi compétitif que par le passé. Mais les progrès de cette nouvelle mouture sont tout de même conséquents et méritent d’être salués.
Dans le segment de plus en plus peuplé des SUV compacts, le Hyundai ix35 occupe le second rang. Un petit restylage doit lui permettre d’accéder au sacre suprême.
Plus raffiné : c’est par ces deux mots que l’on peut résumer l’évolution du Hyundai. Il y aura peu à dire au sujet de l’apparence extérieure : la proue évolue sensiblement en adoucissant ses traits jugés trop cassants sur la génération précédente; à l’arrière, on relève de nouveaux feux. Point. On trouve un peu plus d’animation sous le capot avec, désormais, 2 moteurs à essence et pas moins de 5 Diesel. Les ingénieurs ont profité du restylage pour peaufiner les réglages de suspensions et le calibrage de la direction. Il est même possible de l’équiper – sur les versions haut de gamme – du Flex Steer proposant trois niveaux d’assistance de direction, en fonction de la route et de l’humeur.
Notre prise en main s’est déroulée au volant du 2.0 Diesel de 136 ch à transmission aux 4 roues, un véhicule fort agréable à mener et à vivre, notamment grâce au nouveau GPS, plus facile à manipuler et plus réactif qu’auparavant. Le comportement révèle des suspensions plus conciliantes que celles du précédent ix35 et les sièges offrent une bonne assise. Le 2 litres Diesel est encore un peu trop audible à notre goût et l’option Flex Steer ne nous a pas spécialement conquis. Enfin, sa boîte manuelle accroche un peu. Nous sommes par contre impressionnés par l’espace à bord, tant pour les occupants que dans le coffre.
Si Hyundai enregistre encore et toujours une progression de ses ventes, c’est en grande partie grâce à son cheval de bataille, l’ix35. Cette évolution n’a rien de révolutionnaire, mais corrige quelques défauts tout en conservant ses atouts. Avec un prix de base démarrant à 21.000 euros pour le modèle de base 1.6 GDI, déduction faite de toutes les remises possibles, on ne sera pas étonné de le voir encore grimper dans les statistiques. Nissan est prévenu.
Il faut un oeil exercé pour remarquer les évolutions apportées à l’ix35: les phares adoptent des feux de jour à diodes, de nouvelles jantes font leur apparition, tandis qu’à l’intérieur, le bloc d’instrument et l’écran multifonctions sont revus. Pas de quoi fouetter un chat même si techniquement il y a du mieux: l’assistance de direction profite d’une nouvelle calibration (avec désormais trois modes de réglages) et les supports moteurs sont assouplis afin de réduire le niveau sonore et les vibrations. Les diesels 2.0 voient leur C02 diminuer, ce qui n’est pas le cas de cette déclinaison 1.7 CRDi 115 qui reste à 135 g.
Mais son insonorisation reste quelconque, car si les valeurs de bruit mesurées sont bonnes, la sonorité sourde de ce diesel reste toujours présente, et devient même envahissante lors des accélérations. Et comme sur tous les ix35, la direction beaucoup trop assistée et l’efficacité juste correcte du train avant limiteront l’enthousiasme du conducteur. Des qualités routières moyennes que ne compense pas un freinage manquant de puissance (un 3008 de Peugeot stoppe 8 m plus court à 130 km/h!). Enfin, l’ix35 souffre d’un coffre de faible hauteur, ce qui limite la capacité à 310 dm3 sous tablette, et il oublie de mouler sa planche de bord dans des plastiques moussés. A ce tarif, quand même!